Le commerce équitable demande de la transparence et donc de la traçabilité. Le commerce des épices lui est assez opaque, les enjeux financiers étant considérables. Il existe des filières doubles (non déclarées).
Notre petite association ne joue pas dans la cour des grands traders, mais s’efforce néanmoins de recueillir un maximum d’informations, la question de base étant « où va l’argent du consommateur ? Bénéficie-t-il bien aux producteurs et à sa famille ? »
En amont, et en ne considérant que la vanille préparée par les paysans, en conventionnel: entre 4 et 5 centimes d’euro ; 0,05€ L le métier de collecteur (maquignon) saisonnier est usuel.
En aval, en France, la vanille est vendue (TTC la gousse).
— Moins de 1.50€ par des particuliers (souvent des malgaches) sur internet. Qualité et traçabilité restent à vérifier au cas par cas.
– Jusqu’aux prix excessifs que vous connaissez,
– Le cas de VBS est un peu particulier, nous n’avons pas de charges salariales, étant tous bénévoles, ni de loyer.
Nous avons toutefois le coût du contrôle bio et les charges de salons à payer.
Nos bénéfices (1/3) servent intégralement l’objectif des projets solidaires et repartent donc à Madagascar. Voici la chaine de notre filière bio équitable :
Le compte-rendu financier annuel permet chaque année a tous les adhérents l’accès précis aux comptes de l’association, aussi n’hésitez pas, cliquez sur le volet adhésion !